Les îles de la Petite-Terre forment un groupe de deux îles de l’archipel de la Guadeloupe situées dans l’océan Atlantique, dans l’arc des Petites Antilles.
«Composées de Terre-de-Haut et de Terre-de-Bas, entourées par un récif corallien et administrativement rattachées à l’île de la Désirade, il s’agit d’une dépendance de la Guadeloupe. Le groupe d’îles se trouve à une dizaine de kilomètres au sud-est de la pointe des Châteaux, l’extrémité orientale de Grande-Terre de la Guadeloupe.»
— Wikipédia
De nombreux touristes sont attirés par l’aspect sauvage de ces îlets, ainsi que leurs populations d’iguanes antillais et de bernard-l’ermite.
« La faune des deux îles est essentiellement composée d’iguanes antillais avec 9 500 individus, d’oiseaux migrateurs et de tortues marines auparavant chassées pour leurs œufs, leur graisse et leur carapace. Les croyances prêtaient même aux pénis des tortues des vertus aphrodisiaques. La richesse de la faune est complétée par une grande variété d’espèces de poissons et de larves protégés de la houle par le lagon et le récif corallien. »
— Wikipédia
Les îles de la Petite-Terre sont classées « réserve naturelle » depuis septembre 1998 avec une extension sur le domaine marin de 842 hectares les entourant: le site étant protégé, les navettes (bateau à moteur ou à voile, généralement au départ de Saint-François) sont limitées à deux par jour pour des raisons écologiques.
Le phare de l’îlet de Petite-Terre, localement appelé « phare du bout du monde », a été reconverti en musée de la faune et de la flore. Ce phare, le plus ancien de Guadeloupe, culmine à 35 mètres d’altitude sur Terre-de-Bas.
Terre-de-Haut est rigoureusement interdite au public.
Information :
— Site Internet des Réserves naturelle de La Désirade et Petite Terre
— Wikipédia
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